Docteur Gugi and mister Blog

En matière de musique, le sentiment de "déjà vu", ou plutôt devrait-on écrire "déjà entendu" n'est pas forcément si courant que ça. Et ce même si les reprises ont tendance à se multiplier comme des Gremlins qu'on aurait échappés dans la baignoire.
Et pourtant...
A voir les quelques exemples que j'espère vous faire découvrir ci-après, l'on en viendrait presque à être désormais envahi d'un réflexe paranoïaque vis-à-vis de toute nouvelle chanson : se demander de quelle autre oeuvre ce nouveau morceau peut-il bien être la resucée.

A la limite, même si les reprises clairement affichées sont peut-être les plus dérangeantes (technique commerciale du moindre effort), au moins elles ne nous prennent pas en traître.
Tandis que d'autres sont plus douteuses, car s'inspirant de chansons très anciennes et/ou très peu connues du grand public. Ou comment l'artiste en retire ainsi un succès le plus souvent quelque peu usurpé...
Je dis "le plus souvent" car toutefois c'est grâce à certaines reprises que quelques chansons sont sorties de l'ombre ou ont connu leurs véritables heures de gloire. Encore faut-il aussi que l'interprète se dénonce le cas échéant.

Mais d'autres degrés de voisinage musical sont plus sournois, mettent le doute : plagiat, inspiration, ou coïncidence involontaire ?
Certaines similitudes peuvent s'expliquer par ce qu'on pourraît appeler un cousinage mélodique, des chansons s'appuyant sur le même squelette, les même shémas rythmiques, les mêmes suites d'accords. Surtout si ceux-ci ont déjà fait leurs preuves d'efficacité.
A chacun de se faire une idée dans ces cas-là.

Mais pour d'autres le doute n'est presque plus permis, et le risque est même parfois de voir quelque peu s'écrouler certains mythes. En effet même les plus "grands" ne sont pas épargnés...
Quant à d'autres artistes, souvent contemporains, ils vont parfois jusqu'à... s'auto-plagier, en créant plusieurs chansons sur un même modèle.

La chasse aux plagiats -ou présumés tels- est devenue la quête de quelques passionnés, au premier rang desquels l'auteur, chanteur et humoriste Serge Llado, qui tient notamment une chronique régulière, "montages intempestifs", sur Europe 1.

En attendant voici donc une petite sélection récoltée sur le net. Entre simples doutes et flagrants copiés-collés, à vous de vous faire votre idée. Mais il s'agit du sûr d'une bien minuscule goutte d'eau, dans un océan musical finalement pas toujours autant créatif que tout un chacun pourrait l'imaginer.


Les Dents de la Mer (John Williams, 1975) --- Symphonie N°9 du Nouveau Monde (Dvorak, 1893)
vs

Stargate (David Arnold, 1994) --- Casse-Noisettes (Tchaïkovski, 1892)
vs

Star Wars Episode IV (John Williams, 1977) --- The Rite of Spring (Stravinsky, 1913)
vs

Star Wars Episode IV (John Williams, 1977) --- Symphonie N°9 du Nouveau Monde (Dvorak, 1893)
vs

L'exorciste, Tubular bells (Mike Oldfield, 1973) --- La Dawotsin (Christian Vander (Magma) 1973)
vs

Willow (James Horner, 1988) --- Symphonie n°3 Rhénane (Schumann, 1850)
vs

Un ange frappe à ma porte (Natasha St-Pier, 2006) vs Et je ne pense plus à toi (Claude François, 1971, reprise)


Fermons les yeux (Kyo, 2000) vs Le dernier des mohicans (Trevor Jones, 1992)


Gabriel (Najoua Belyzel, 2005) vs Self control (Laura Branigan, 1984)


Générique du Journal Télévisé de TF1 vs Les dents de la mer (John Williams, 1975)


Allons enfants de la patrie, le Père Noël est arrivé ! (stupéfiant)


Le Mambo de Diam's


Michel Polnareff vs Ray Charles (la chanson originale est de 1930)


Pot-pourri



Sources

• Inspirations, sur dew's blog
• Le site de Serge Llado (à lire également Sous les plagiats, les tubes (et réciproquement))
• plagiats.canalblog.com
• Le générique du JT de TF1 (par Serge Llado), sur 3couleurs.blogspot.com
• La Dawotsin devient cloche tubulaire

Autres liens

• Un (long) topic dédié sur le site Audiofanzine, où chacun peut apporter ses contributions ou simples doutes.
  Plagiats, ressemblances ou coïncidences musicales, sur Audiofanzine.com
• Autre tentative de recensement, par un particulier.
  Une collection originale : les chansons jumelles... , sur vynilmaniaque.com
• Un blog dédié, malheureusement abandonné, mais qui constitue tout de même un autre joli recencement.
  www.u-blog.net/c0bain

AJOUT 01/03
• Une incroyable histoire de plagiat au Royaume-Uni.
  Une pilleuse au piano, sur Liberation.fr

Le 4ème album de Natalie Imbruglia est en route ! La pêche aux infos est difficile étant donné la torpeur éhontée dans laquelle semble se complaire depuis de nombreux mois le webmaster du site officiel de la belle chanteuse australienne, mais d'après les premiers échos (ou rumeurs) ayant pu être lus, la galette est pour l'instant prévue pour le printemps 2007. Avec dans le meilleur des cas un premier single attendu pour un peu plus tôt. Je dis bien pour l'instant, car avec Natalie il faut de préférence être patient (son deuxième album avait été repoussé plusieurs fois de plusieurs mois à l'époque). Que ce soit du fait de Natalie qui cherche à prendre le temps suffisant pour écrire, choisir, et produire ce qu'elle souhaite, ou de sa maison de disques, mieux vaut en tout cas être prévenu.
Le titre de l'album n'est sans doute pas encore arrêté, mais pourrait être l'un de ceux-ci : Alive again, ou Our life. Un peu mièvre et banal à mon goût (même si ça ne reste certes qu'un titre), en espérant que la musique de Natalie ne suive pas le même chemin pour tomber dans une pop passe-partout. On peut toutefois lui faire confiance pour que la qualité soit au rendez-vous. Retraçons d'ailleurs un peu ce brillant parcours...

Avant même la sortie de son premier album, Left of the middle, la consécration était déjà au rendez-vous pour Natalie Jane Imbruglia grâce au single devenu culte Torn (reprise d'un groupe méconnu, Ednaswap) qui la fit connaître musicalement en 1997 à l'âge de 22 ans. Un hit qui connut quelques records notables (numéro 1 plusieurs mois consécutifs dans les charts britanniques et américains).
Il faudra attendre près de 4 ans (!) et 2001 pour son deuxième album, White Lilies Island. Terminé les cheveux courts et les relents d'adolescence. Chansons plus chaleureuses et plus suaves, un peu moins électro, des textes peut-être plus forts, plus positifs, Natalie a mûri. Mais l'album ne marchera pas autant qu'espéré. En ce qui me concerne c'est pourtant mon opus préféré, celui que je trouve le plus fort émotionnellement tant par certaines chansons que par ses mélodies.
Enfin dernier album en date, Counting down the days, sorti en 2005 soit deux ans plus tard que prévu en raison de divergences entre Natalie et sa maison de disques d'alors, qui souhaitait à l'époque quelque chose de moins rock et plus commercial... L'album de la sérénité pour une Natalie épanouie depuis son mariage en 2003 avec Daniel Johns, chanteur du groupe Silverchair. Le premier single, Shiver, aura en tout cas connu un honnête succès, principalement outre-manche.

Il n'y a plus qu'à espérer que ce nouvel album tienne toutes ses promesses. Et que Natalie nous gratifie avec d'une tournée européenne avec un nouveau crochet par la France comme en novembre 2005 et ce passage apprécié par l'Olympia.

Histoire de finir l'année verte sur une bonne note, et pour patienter jusqu'en 2007... , vous en reprendrez bien un p'tit coup pour le plaisir ?



Christophe Landrin, Stade Geoffroy-Guichard
(Saint-Etienne 3-0 Valenciennes)

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La télé assistance sociale (dite de coaching) est à la mode. Entre l'émission qui relooke (peut-être celle qui part du meilleur sentiment), l'émission qui vient refaire votre déco (ça peut donner de bonnes idées, pourquoi pas), l'émission qui vient nettoyer la maison de gros dégueulasses (un bien faible mot vue certaines orgies innommables), les émissions qui viennent remettre de l'ordre dans les couples ou familles, l'émission qui vient retaper l'affaire de petits restaurants miteux, etc, c'est une véritable prolifération (la majeure partie provenant d'M6 d'ailleurs).
Ces émissions restant malgré tout divertissantes (d'un point de vue sociologique d'aucuns diraient sans doute également que voir la merde des autres permet de se rassurer soi-même), j'ai voulu regarder la dernière mouture en date : SOS Cambriolage.
Bilan.

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A maintenant moins d'un mois de Noël, de ses relents de marrons chauds et de musiques traditionnelles, et alors que nous sommes rentrés depuis longtemps dans l'ère du tout numérique, j'ai envie de lancer un grand avis de recherche : que sont devenus les jeux de société de notre enfance ?
La bonne paye, Destins, Richesses du monde, Hôtel, L'île infernale, Dix de chute, Les mystères de Pékin, Scotland Yard, le 1000 bornes, Pièges, Hero quest, Qui est-ce ?, ... , sans oublier les traditionnels Monopoly, Jeu de l'oie, Trivial pursuit ou encore Cluedo...
Que de bons moments conviviaux passés à une époque où les jeux vidéos prenaient leurs marques dans les chaumières, mais sachaient également parfois se faire discrets au profit de leurs cousins de plastique et de carton.



Aujourd'hui certains must sont encore édités et continuent de peupler les rayons des grandes surfaces, accompagnés de quelques dérivés télévisés aux côtés ludiques parfois discutables, mais le coeur ne semble plus y être. Sur les listes adressées au barbu du Grand Nord, les grands gagnants seront une nouvelle fois cette année les consoles et jeux nouvelle génération, à n'en pas douter.
Bien sûr il faut vivre avec son temps, et bien sûr qu'il serait incroyable de ne pas succomber à l'incroyable attrait des jeux vidéos de ces dernières années, mais on peut toujours regretter ce temps où l'excitation était à son comble quand dans un groupe de jeunes amis, quelqu'un arrivait le samedi avec un tout nouveau jeu de société. Et peut-être avez-vous connu vous aussi les derniers jours de l'année scolaire en primaire, lorsque la semaine était dévolue au jeu et à ce que tout le monde amène les siens en classe ? :) (ceci dit celà se fait-il peut-être encore ? si il y a des parents ou des instituteurs dans la salle qui peuvent nous éclairer à ce sujet...).
A noter par ailleurs qu'il existe aujourd'hui un peu partout en France des cercles de jeu où les ludophiles se réunissent pour des après-midi ou soirées jeux de société.

Si vous voulez vous replonger dans ces souvenirs, voici un site extrêmement complet sur le sujet. Une véritable base de données d'un passionné-collectionneur : JeuxSoc.
La liste est impressionnante, et on retrouve vite au détour de quelques clics quelques jeux auquels on a joué et que l'on avait clairement oubliés. Nostalgie garantie. :)

Non rassurez-vous je ne vais pas vous imposer une séance de rattrapage de l'émission d'M6. Le net suffit très bien pour découvrir plein de choses étonnantes sans avoir besoin de subir présentation lourde, effets superflus, gros temps morts, et séances de pub.
Petite sélection (qui en appellera peut-être d'autres...).

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Inauguration de la rubrique musique avec mon gros coup de coeur du moment: Mademoiselle K
Petite présentation avant de vous faire découvrir un K à part à travers quelques sons et vidéos.




Mademoiselle K, de son vrai nom Katerine Gierak (parisienne aux origines polonaises), a très tôt été initiée à la musique (commencée à 5 ans, suivront un peu plus tard entre autres plus de 10 ans de guitare classique), une vocation qui finalement couvait. Ce seront ensuite des rencontres idoïnes sur le chemin de sa passion (notamment sa prof' de musique au lycée), qui lui auront permis de s'ouvrir à différents genres, de poursuivre son apprentissage.
Parallèlement à sa passion pour la musique, c'est le ratage de son CAPES pour devenir prof', une voie d'ailleurs pas forcément choisie (échec dont elle parle dans Ca sent l'été), qui aura peut-être été le véritable début de son aventure.
Auteur-compositeur, Katerine ne s'est lancée dans le chant qu'à l'âge de 20 ans (elle en a aujourd'hui 25), et c'est la guitare électrique qui lui aura permis de véritablement donner l'envol de ses envies et de prendre toute sa dimension scénique.

Malgré ses airs rebelles et délurés et un répertoire souvent brut de décoffrage, Mademoiselle K fait également preuve de fragilité et de beaucoup de sensibilité. On retrouve notamment dans l'album quelques chansons plus zen, planantes, avec une intensité émotionnelle certaine. Mais celà ne veut pas dire que ses chansons punchy, débordantes d'énergie communicative, n'ont aucun texte derrière. Au contraire ils sont souvent d'une incisivité pertinente.
Mademoiselle K parle de choses vraies, de choses qui font mal, d'amour (pas incompatible ça tombe bien), de choses qui énervent, de vécu souvent aussi...

Mademoiselle K c'est une musique pêchue et saturée dont on a qu'une envie : en profiter sur scène au plus vite.
Mademoiselle K c'est une voix qui peut parfois rebuter, mais un timbre rebelle et "rauque" 'n roll qui donne tout son attrait aux chansons.
Mademoiselle K ce sont une certaine ambivalence, une autodérision, et une sincèrité qui font tout son charme.
Mademoiselle K c'est une artiste déjà attachante, au minois sympa, et pleine d'humour (le Tour's diary de son site officiel sur la tournée du groupe en Chine donne un petit aperçu :)).

Ca me vexe, l'album de Mademoiselle K est dans les bacs depuis fin août. Pour ma part j'ai découvert cette artiste grâce au single éponyme via le clip qui passe depuis peu dans L'Alternative sur la 6, et dont vous trouverez notamment la vidéo ci-après.

Perso dès que la miss se produit pas trop loin, je fonce ! :) Et vous ?


Extraits audio et vidéo :

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Maître Plug-in sur un navigateur embarqué, tenait en son sein un usage.
Maître Firefox, par l'odeur alléché, lui tint à peu près ce langage :
"Hé bonjour Monsieur le Plug-in. Que vous êtes léger, que vous me semblez pratique. Sans mentir, si votre fonctionnalité se rapporte à votre facilité d'emploi, vous êtes le must des add-on de ces pages."
A ces mots, le Plug-in ne se sent pas de joie, et pour montrer sa belle utilité, se lance dans son exécution et fait planter son hôte Internet Explorer.
Le Renard sourit et dit : "Mon bon Monsieur, apprenez que tout utilisateur vit au dépend de son navigateur. Cette leçon vaut bien un plantage, sans doute."
Le Plug-in, honteux et confus, jura un peu plus tard, qu'on ne l'y reprendrait plus.



Si vous aussi vous avez depuis longtemps choixi d'adopter un Renard , voici une petite sélection personnelle de Plug-in intéressants que j'utilise (pour un très vaste choix, un site indispensable : Extensions Firefox chez Geckozone [fr])
Mais sinon... il n'est jamais trop tard pour aller se lover dans la soyeuse fourrure de Maître Firefox et découvrir ses nombreux autres attraits.

• BBCodeXtra
  Un clic droit suffit pour ouvrir un menu permettant de rapidement mettre en forme vos messages sur les forums utilisant le BBCode (autant dire tous). Une extension qui peut également être utile pour la rédaction de vos blogs puisqu'elle offre également des options de mise en forme Html et XHtml.
• Mozilla Archive Format
  Une extension qui permet d'enregistrer et d'archiver une page web tout en conservant sa mise en forme.
  Il existe également des logiciels qui permettent d'enregistrer une page entière sous forme d'une image jpg. Une extension Firefox existe aussi en ce sens, Screen Grab, on ne peut plus simple d'emploi.
• Download Manager Tweak
  Un peu plus de fonctionnalité pour le gestionnaire de téléchargements de Firefox, pouvant notamment dorénavant être ouvert dans une fenêtre séparée.
• Smooth Wheel
  Pour un défilement plus doux et plus agréable des pages lors de l'utilisation de la molette de la souris.
• Video Downloader
  J'ai peut-être gardé le meilleur pour la fin, avec cette extension que j'ai découvert tout récemment. Vous ragez de ne pouvoir conserver sur votre disque dur les nombreuses vidéos que vous visionnez sur les sites spécialisés de type YouTube, DailyMotion, ainsi que les blogs ? Grâce à ce plug-in un clic suffit pour ouvrir une fenêtre et enregistrer la vidéo. Magique.
  Attention la vidéo est sauvée au format flv (flash video), deux solutions s'offrent ensuite à vous : utiliser un logiciel pour la convertir en avi (mais le poids du fichier s'en ressent), ou plus simple, utiliser un lecteur de flv. Par exemple FLV Player 1.3.3 ou son homonyme (pas testé), qui sont gratuits.

N'oubliez pas que chaque extension est bien souvent paramétrables via son menu d'options. :) Attention également si vous avez craqué pour la toute récente version de Firefox (2.0), certaines extensions peuvent y perdre leur compatibilité.

Mais que m'est-il passé par la tête pour qu'à mon tour je me lance dans la grande aventure des blogs. Vu le succès planétaire de ces petites bulles de vie, de partage, plutôt devrais-je même dire pourquoi si tard ?

Ayant d'abord pris conscience que les blogs n'étaient pas toujours uniquement des cahiers intimes d'adolescents wesh-wesh ou des albums de photos de famille, j'ai aussi parfois eu l'occasion de croiser les écrits de quelques blogs spécialisés, originaux, ou simplement personnels mais ayant une certaine fraîcheur, des choses intéressantes à raconter, à partager. Le plus récent en date, celui du Sieur Draven, celui en fait qui m'a donné l'envie de m'y lancer.
(j'aurais aussi pu dire "spéciale dédicace à DJ Draven wouééé wouééé", mais j'ai eu peur de déjà faire fuir tout mon potentiel lectorat de plus de 15 ans).

Et puis cette interface Dotclear, agréable et ergonomique (enfin du peu que j'ai pu en voir pour le moment), c'est une véritable invitation à mettre les mains dans le cambouis, pour pouvoir ensuite y laisser libre court à son inspiration et ainsi engorger un peu plus la Toile de plein de choses futiles. Mais bon la futilité, c'est aussi tout ce qui fait la richesse et l'intérêt du web. ^^ Inutile donc forcément indispensable ! disait le slogan... A moins qu'il ne se fût agî de l'animateur Bonaldi...
Bref ceci étant j'essaierai quand même de ne pas faire quelque chose d'inintéressant, même si sans doute de temps en temps ce que je m'appliquerai à partager n'intéressera pas forcément tout le monde. ^^

Bon allez, il est déjà temps que je me replonge un peu au coeur de la bête, histoire déjà de plancher un peu du côté graphique notamment.
Voilà sinon pour le titre si vous vous interrogez à son sujet (et même si c'est pas le cas, pour un premier billet vous pourriez faire l'effort de lire jusqu'au bout quand même :p ), je ne savais pas quoi mettre (ça commence bien :D ), alors j'ai mis ce titre d'une chanson (du rappeur Sinik) que j'écoutais hier, lorsque je me suis lancé dans la création de ce blog. Dans un certain sens ça collait bien :
"Ne dis jamais" que tu ne crééras jamais de blog, toi aussi ça peut t'arriver un jour.